Mai 68 vu d'en face
« Bernard Lugan, responsable
de l’Action française à Nanterre en 1968, raconte avec gourmandise ses
bagarres. C’est un festival de dégelées et de mots rares, un catalogue complet
d’attitudes, une mine pour militants romantiques, un recueil pour les veillées
de feux de camp. Les cornouillers s’abattent sur des nuées de gauchistes
défaits, les bons mots fusent, les policiers sont mystifiés, et de mystérieuses
escapades au cœur du vieux pays font surgir nobles en leggings, imprimeries
clandestines, bouteilles ineffables, fantômes chouans et cavaliers émérites…Pas
un jeune militant qui ne bavera d’envie au récit des bagarres homériques de ces
temps mythiques où la rue appartenait à ceux qui y descendaient. Bernard Lugan vient de transcender la
littérature scoute en lui offrant une manière de « Prince Eric camelot du
Roi ». Inattendu, rapide, plaisant et léger ». Philippe Ménard dans Politique
Magazine, mai 2018.
"La rue appartient à celui qui y descend..."
RépondreSupprimerBernard Lugan est un homme cultivé et merci pour ce clin d'œil.
De la même génération que l'auteur, j'ai lu -et apprécié - quasiment tous ses ouvrages traitant de l'Afrique en général et du Rwanda en particulier.
RépondreSupprimerJe me suis régalé à déguster son dernier ouvrage " Mai 1968 vu d'en face" et regrettant presque de n'avoir pu participer à ses côtés à sa lutte contre les gauchistes d'alors qui ont malheureusement fait des émules. Ce sont les mêmes branleurs que l'on retrouve aujourd'hui en train de tenter de bloquer les facs ou de squatter le site de Notre Dame des Landes .
Pour ce qui est de mai 2018 je dirais pas ça ,en l’occurrence de la racaille illettrée qui n'a rien à voir avec les militants de quelque appartenance qu'ils aient été en 68 .
RépondreSupprimerMai68: Je venais de terminer mon service militaire(16 mois)et ne comprenais absolument rien à cette explosion soudaine de violence pour des motifs que j'avais et que j'ai toujours du mal à comprendre.
RépondreSupprimerLe plein emploi, un taux de croissance qui n'est plus qu'un rêve (actuellement).....Bref aucune bonne raison de déclencher un tel BORDEL sauf si la raison n'était pas économique philosophique ou libertaire mais plutôt stratégique pour évincer De Gaulle du pouvoir .
C'est là qu'on a vu débouler un certain COHN BENDIT....de nulle part !!!!!.prendre la tête du mouvement!!curieux non ???..et un ancien directeur de la banque ROTCHILD succéder au grand Charles....Dans les deux années qui suivirent, l'état français empruntait sur les marchés financier.
Depuis la dette n'a jamais cessé d'augmenter....Mais tout ça n'est qu'un concours de circonstances ...fâcheuses je vous l'accorde!!!Ne voyons là ni manipulation ni complot...soyons sérieux !!!!
Tout à fait d'accord avec Bernard Lugan. D'autant plus que j'y étais ! Droit à Assas (droite) et Allemand à Censier (gauche). J'ai milité 2 semaines avec le MJR (Mouvement Jeune Révolution, né d'anciens jeunes de l'OAS) mais je l'ai vite quitté quand un chef nous a embarqués dans une camionnette pour coller des affiches... d'un candidat centriste !!!
RépondreSupprimerCela dit, le Bercoff, on sent bien qu'il est dans tous ses états, pauvre choupinet !
Bonne nouvelle : le livre est à nouveau disponible sur Amazon. Vite l'autobiographie de vos années action française cher maître!
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