- Politiquement, la question de la succession du président Bouteflika pourrait être prochainement réglée car les partisans du clan Bouteflika et ceux du général Ahmed Gaïd Salah, le chef d’état-major de l’armée, ont le poignard à la main. Qui frappera le premier ? Nous devrions le savoir bientôt à moins que les deux camps décident d’une trêve en reportant les élections présidentielles prévues au mois d’avril 2019.
- Economiquement, en raison
de l’épuisement des nappes, la production algérienne de pétrole est en baisse
constante. Quant à celle du gaz, elle ne pourra bientôt plus permettre d’assurer
les exportations. Comme, les hydrocarbures fournissent, bon an mal an, entre 95
et 98% des exportations et environ 75% des recettes budgétaires, l’avenir de
l’Algérie est donc plus que sombre…
L’addition de ces deux
crises pourrait donc provoquer un tsunami dont les conséquences seraient
dévastatrices pour la sous-région. Sans parler de la vague migratoire qui toucherait
alors la France, une partie des Algériens y ayant des parents résidents qui
pourraient juridiquement être fondés à les accueillir.
Révélations et explications.
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