Un
an après les « accords d’Alger » qui devaient acter la réconciliation
entre les belligérants maliens, un peu plus de trois ans après des élections qui
devaient faire couler le lait et le miel du consensus démocratique, le Mali est
plus que jamais à la veille d’exploser. Or, ce n’est pas une guerre de religion
qui le menace, l’islamisme n’y étant que la surinfection d’une plaie ethnique, mais
un conflit ethno-racial sur lequel les trafiquants de toutes sortes ainsi que les
islamistes se greffent avec opportunisme.
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