Au moment où, paniqués par
la progression de Daesh en Libye, certains en sont quasiment arrivés à croire
qu’il était possible de soutenir une partie des jihadistes contre les autres,
le massacre commis à Ouagadougou venant après celui de l’hôtel Radisson de
Bamako le 20 novembre 2015, rappelle que nous sommes en présence d’un même
phénomène. Comme en Syrie, où le président Poutine ne cesse de dire qu’il n’y a pas plus de jihadistes
« modérés » qu’au Sahel.
Au-delà de la description
événementielle et journalistique, l’analyse du massacre qui vient de se
produire à Ouagadougou peut se faire autour de quatre points :
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