dimanche 12 janvier 2014

Guerres d'Afrique reçoit le prix Raymond Poincaré

Bernard Lugan est heureux et fier de porter à la connaissance de ses amis et du public que le jury de l’UNOR (Union nationale des officiers de réserve) vient de lui décerner, à l’unanimité de ses membres, le prestigieux prix Raymond Poincaré pour son livre Les Guerres d’Afrique, des origines à nos jours (Editions du Rocher).
Ce livre est le développement du cours que Bernard Lugan dispense aux Ecoles militaires de Saint-Cyr-Coëtquidan aux futurs officiers dont la devise est « Ils s’instruisent pour vaincre ».

Le Prix sera remis le vendredi 17 janvier à 18h30 à l’Ecole Militaire (Rotonde Gabriel) lors de la cérémonie des vœux de l’UNOR.

(Pour commander le livre, cliquez sur la couverture.)

5 commentaires:

  1. Félicitations à Bernard Lugan pour son remarquable travail sur la compréhension de la situation africaine. Merci.

    RépondreSupprimer
  2. Bernard Lugan, recevez mes félicitations pour ce prix bien mérité. Adepte entre autres (mais ils sont si peu nombreux ceux sur qui nous pouvons compter) des thèses défendues par Guy Millière, Ivan Rioufol ou encore Yves de Kerdrel, je suis fier de vous compter parmi mes plus sûres sources d'inspiration dans cet océan de désinformation qui défigure notre malheureux pays. Bravo !!

    RépondreSupprimer
  3. Félicitations à l'auteur !

    RépondreSupprimer
  4. Félicitation à vous et à votre labeur. Je tiens à dire que votre ouvrage est d'une grande qualité. Merci et bravo!

    RépondreSupprimer
  5. Cet homme, trempé d'une France d'autrefois, à des lieues de cette mouillante étatique d'où ruissellerait le poison de la mièvrerie compassionnelle institutionnalisée mais surtout dogmatique de l'antithèse française éburnée;

    Cet homme est un symbole de pugnacité et d'espoir pour les générations futures, ces générations d'une nouvelle Europe fécondée et lissée in-vitro dans l'ombre des laboratoires mondialistes, et non de la Vielle, de l'Historique.

    Ces jeunes, voire très jeunes, à qui l'on tente de programmer par tout moyen que la flagellation est à la conscience ce que la croix était au Christ;

    -Une nécessité rédemptrice...


    Et quand bien même des divergences existent, celles qui ne font que débattre dignement les Hommes de raison, ceci ne défalque en rien la reconnaissance d'un travail titanesque et hors norme, mis à la disposition du confortablement assis, qui n'a plus qu'à glaner, voire pour certains belliqueux arrivistes, à s'adonner à la prétention de se faire critique(s) d'un jour, ou d'une broutille, de pinailler ou de postillonner en garçon d'écurie trônant sur un poney cul-de-jatte galopant sur ses moignons à l'assaut d'une forteresse.

    Lugan, mérite au moins cela...

    RépondreSupprimer