Le mardi 27 février 2018, par 241
voix contre 83, le parlement sud-africain a voté le commencement d’un processus
de nationalisation-expropriation sans compensation des 35.000 fermiers blancs.
Or, il faut bien avoir à l’esprit
qu’en Afrique du Sud - comme hier au Zimbabwe, et comme annoncé demain en
Namibie -, ce n’est pas pour des raisons économiques que ces fermiers vont être
spoliés. Les 241 députés noirs qui ont voté cette motion n’ignoraient en effet pas
qu’ils poignardent en plein cœur le dernier secteur hautement producteur de
richesses de leur pays. Ils savaient très bien que ces fermiers blancs
nourrissent l’Afrique australe et que, sans eux, tout le cône sud de l’Afrique
(Angola, Namibie, Zambie, Mozambique, Botswana, Zimbabwe) connaîtra la famine. Qu’importe !
La symbolique de la revanche raciale est la plus forte… Ceux qui, en Europe,
avaient vibré au mythe de la « nation arc-en-ciel » réconciliée sont
donc une fois de plus cocus. Le plus grave est qu’ils n’en tireront pas les
leçons… Explication :
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Pourrions-nous lancer une campagne d'envoi de courrier aux dignitaires sud-africains ?
RépondreSupprimerCela ne servira à rien!
RépondreSupprimerCe qu'il faut faire et de sauver de la mort ces fermiers HAUTEMENT qualifies !!!