vendredi 6 mars 2015
Osons dire la vérité à l'Afrique
Editions Le Rocher
224 pages
Présentation :
Accrochés à des pourcentages de PIB désincarnés ou artificiels, « experts » et médias mentent à l'Afrique quand ils lui font croire qu'elle a « démarré » et qu'une « classe moyenne » y est née. En effet, non seulement le continent ne se développe pas, mais, au sud du Sahara, il est même revenu à une économie de « comptoir ».
Au XVIIIe siècle ces derniers étaient esclavagistes ; en 2015, ils sont pétroliers, gaziers ou miniers. Comme ceux d'hier, ceux d'aujourd'hui n'enrichissent qu'une infime minorité d'acteurs-profiteurs cependant que la masse de la population subit en tentant de survivre.
Allons-nous donc continuer de mentir à l'Afrique quand, confrontées à la misère et pour échapper au désastre dont elles sont les premières victimes, ses jeunes générations risquent leur vie dans de mortelles traversées vers le supposé « paradis » européen ? Afin d'attaquer les vraies causes du mal, les acteurs africains et européens doivent commencer par cesser de s'abriter derrière ces postures dogmatiques et ces mensonges qui, depuis des décennies, engluent le continent dans les échecs.
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Un livre de plus de Bernard Lugan, qui "dit vrai". Mais combien le liront, parmi nos "spécialistes autorisés" ? Ils n'oseront pas se salir les mains à ouvrir cet ouvrage qui n'est pas politiquement correct mais qui pourtant remet toutes les pendules à l'heure. A la dernière heure...
RépondreSupprimerAcheté et lu. Remarquable de pertinence et de mises en perspectives. Une certaine France, en censurant M. Lugan, ne fait rien d'autre que de se priver de son plus brillant africaniste. Comprenne qui pourra...
RépondreSupprimerQue les médias français ne veulent participer à la mise en avant de cette analyse factuelle et objective de Bernard Lugan n'étonne que peu. Les intérêts de ces comptoirs fort rentables pour leurs utilisateurs/propriétaires sont, souvent en Afrique francophone mais pas que, détenus par de grandes entreprises françaises. Bouygues, Total, Bolloré, Areva... Et celles-ci, quand elles ne possèdent pas directement les dit-médias, en sont de grands acheteurs d'espaces publicitaires. Ou que leurs dirigeants tutoient nos édiles politiques avec lesquels ils ont partagé les mêmes bancs d'école ou les conseils d'administration.
RépondreSupprimerRemarquable ouvrage!! Est ce que ce livre existe en version anglais? Si pas, svp traduisez le!! J'en peu plus des anglo-saxons et germanophones qui parle de l'Afrique sans savoir. J'ai grandi en Afrique depuis l'âge de 2 ans, j'ai fui la RDC et le Zimbabwe. Je voudrais partagez votre livre à ceux qui plus tard travailleront dans la coopération. Je pense que votre œuvre est important et franchement c'est vous qui devrait être au Nations Unis et pas les gens qui y sont actuellement. Grand respect pour vous Mousieur Lugan.
RépondreSupprimerje n'ai pas encore lu le livre mais comme je suis traductrice je peux éventuellement le traduire en anglais.
Supprimerfr.latour@orange.fr
J'ai lu "Algérie l'histoire à l'endroit"....J'y ai appris que ses habitants étaient des Berbères arabisés....les arabes étant eux mêmes colonisateurs colonisés par les Ottomans qui sont resté presque 400 ans.
RépondreSupprimerBref ,l'Algérie n'est pas arabes et il n'y avait pas d'état algérien à l'arrivée des Français.
Les PATOS ignares et désinformés ne comprennent rien au monde arabo-musulman et cela ne date pas d'hier ...malheureusement!
Force est de constater que les choses n'ont pas évolué depuis 70 ans.
Merci pour votre remarquable travail de recherche Monsieur LUGAN !!!
Comme vous avez raison , les Patos comme vous dites ,n'ont jamais rien compris ni à l'Afrique , ni au monde musulman ( la main que tu ne peux pas couper, baises -la !), et encore moins en INDOCHINE , race civilisée depuis longtemps, intelligente, travailleuse qui aimait les Français( qui la comprenaient et la respectaient ), mais patriote qui voulait DES 1930 ( avant Ho Chi MINH) une autonomie , suivie d'une indépendance dans un climat de compréhension , de respect mutuel ,et d'amitié !
RépondreSupprimerC'était ce que Leclerc avait bien compris , mais l'idiot d'Amiral qui l'a remplacé a causé un désastre ,suivie d'une guerre perdue et d'une fracture ( maintenant les Vietnamiens parlent Anglais ,et à part les vieux, ils ne parlent plus Français! Quel désastre! - Henri de MONTFORT
Eh oui, grand malheur pour l"Indochine et la France : ce "Carme Naval", création gaullienne, encore surnommé "Christofle" parce que cela tient lieu d'argenterie... n'arien compris contrairement à l'Amiral "Deux Coup"... Qui lui avait tenu et protégé les indochinois comme les français des prédations nippones ... Aurait mieux fait de rentrer dans son couvent! Hélas!!!
SupprimerCe que dit mon prédécesseur est parfaitement vrai, si on avait écouté le général LECLERC qui négociait avec HO CHI MINH (communiste) qui souhaitait avoir une certaine autonomie pour le TONKIN seulement le gouvernement d'alors refusa cette proposition mais qui préféra confier cette mission à un Amiral qui lui rencontra et préféra l'Empereur BA HO DAI régnant sur le SUD de l'INDICHINE c'est à dire la COCHINCHINE qui était une pourriture. Si le général LECLERC avait été écouté nous aurions évité 8 ans de guerre et la chute à DIEN BIEN PHU. Nous avons eu des responsables politiques d'une grande nullité. Aujourd'hui nous avons les mêmes et incapables
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