Profitant
du lourd contexte géopolitique, l’Algérie prétend pouvoir compenser une partie
des volumes de gaz russe en augmentant ses exportations en direction de l’UE
via le gazoduc Transmed qui la relie à l’Italie. Un simple effet d’annonce
construit car les réserves algériennes s’épuisent et sa production est aux
trois-quarts consommée localement.
La suite de cette analyse (95%) est réservée aux abonnés à l'Afrique Réelle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire