En 2017 (les chiffres
exhaustifs pour 2018 ne sont pas connus), le jihadisme, dans sa définition la
plus large a causé 10.376 morts en
Afrique (Source : Centre d’études
stratégiques sur l’Afrique). Pour dramatiques qu’ils sont, ces chiffres ne
permettent cependant pas de dire que des centaines de millions d’Africains
doivent être mis à l’abri. Nous ne sommes en effet pas en présence d’une mise
en danger réelle des populations justifiant l’application d’un « droit
d’asile » devenu filière officielle d’immigration. Ce n’est en effet pas
le jihadisme que fuient les « migrants » africains qui forcent les
portes d’une Europe paralysée par la tunique de Nessus de l’ethno-masochisme,
mais la misère. Migrants économiques, ils n’ont donc aucun droit à séjourner
dans les pays européens. N’en déplaise aux passeurs idéologiques et au pape.
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Je n'ai pu lire la suite de l'article, mais l'on peut rajouter que ces migrants/clandestins fuient leur propre démographie galopante.
RépondreSupprimerBien présents dans le public et para-public en France (quotas oblige) on commence d'ailleurs à voir se développer des pratiques et une efficacité typiquement africaine dans nos administrations ...
Je partage totalement votre avis sur la migration économique. Nos dirigeants, qu'ils soient de France ou européens, le savent parfaitement. Qu'importe que cette vague migratoire appauvrisse leurs citoyens à qui ils font payer le coût de cette migration. Je crois que leur but est le grand remplacement des peuples de l'Europe comme l'avait imaginé un certain Coudenhove-Kalergi en 1925.
RépondreSupprimerBonne soirée !
Moi aussi je vais partager cet article sur facebook. Merci
RépondreSupprimerTous les pays africains ne sont pas en guerre et les africains ne sont pas tous persécutés dans leur pays. En cas de guerre ou de persécution politique, un africain peut migrer dans un autre pays d'Afrique. Le problème pour les migrants africains, c'est que les autres pays du continent sont presque tous aussi pauvre en structures et sont tout aussi faiblement développés. Les migrants africains fuient les coupures d'eau et d'électricité, les routes défoncées, les transports aléatoires, l'absence de couverture médicale et de pension de retraite, une médecine exsangue, une corruption endémique... Les africains fuient leur incompétence. Cependant, nombreux sont les africains qui choisissent de vivre ailleurs en Afrique. Le quartier des Ouest-Af (pour ressortissants d'Afrique de l'Ouest) au sud de Ouenzé juste après la basilique Saint Anne à Brazzaville est un bon exemple.
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