Le
19 février, une famille française a été enlevée dans le nord du Cameroun, entre
le mois de décembre 2012 et le 17 février, un ingénieur français et sept employés
européens d’une société libanaise le furent dans le nord du Nigeria. Ces trois
événements semblent confirmer que le vrai front islamiste est moins le Mali que
la région tchado-nigériane où les jihadistes bénéficient d’un continuum
ethno-religieux transfrontalier favorable. La tache fondamentaliste qui y grandit va être autrement plus difficile à
effacer que celle du Mali où la seule difficulté militaire est le massif des
Iforas où un légionnaire français a été tué à l’ennemi le 19 février.
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C'est "marrant", sur BFMTV, un spécialiste autoproclamé du Cameroun n'a pas du tout évoqué les problèmes du Tchad (qui est limitrophe d'une zone de la post-Libye complétement déstructurée) mais ose sans rire un comparatif des méthodes entre les islamo-mafieux du Nord Cameroun et ...le Hezbollah !
RépondreSupprimerLes évènements se focalisent sur le Nigeria,encore un pays ou rien n'est simple ,avec une corruption omniprésente et ou il ne fait pas bon de voyager, grand et surpeuplé avec un nord déconnecté et ou la charia fait sa loi . Le tiers nord du continent ou sont imbriqués des pays si différents n'ont en commun qu'une religion .Tel une tête aux contours harmonieux et au cerveau bien malade. Nos soldats engagés pour arrêter une hémorragie , découvrent l'étendue des dégâts, les voilà presque seuls au milieu d'une étendue hostile ou le travail s'annonce immense . " Nous n'interviendrons pas au Mali",voilà une parole qui entrera dans l'histoire . g stinner
RépondreSupprimerbonjour,
RépondreSupprimerQue pensez vous du livre "le rhinoceros d'or" de FX Fauvele aymar ?
Cordialement