A côté de la clarté du discours de Bernard Lugan, les interventions d'Idriss Aberkane apparaissent un peu brouillonnes et pour tout dire journalistiques, n'ajoutant rien aux propos de l'invité, quand elles ne risquent pas d'égarer l'auditeur vers d'autres sujets. Laissez donc votre auditoire suivre la pensée de votre invité, Idriss, il est capable de faire la part des choses.
Il est dommage qu'un esprit aussi lucide et brillant qu'Idriss Aberkane se laisse aller à faire le journaliste, avec tous les défauts de cette profession dans les médias de masse : faconde, clichés, sauts du coq à l'âne, traduction des propos de l'invité comme s'il n'était pas assez clair pour être compris, ou comme si l'auditoire avait besoin de d'une paraphrase pour le comprendre. A la longue, c'est vraiment irritant.
Passionnantes analyses de M. Lugan, dont l'impact est malheureusement amoindri par les interventions du journaliste. Au passage, rappel de la grande révolte kabyle de 1871, avec la manière arrogante, très républicaine, de traiter le cheikh Mohammed al Mokrani.
A côté de la clarté du discours de Bernard Lugan, les interventions d'Idriss Aberkane apparaissent un peu brouillonnes et pour tout dire journalistiques, n'ajoutant rien aux propos de l'invité, quand elles ne risquent pas d'égarer l'auditeur vers d'autres sujets. Laissez donc votre auditoire suivre la pensée de votre invité, Idriss, il est capable de faire la part des choses.
RépondreSupprimerIl est dommage qu'un esprit aussi lucide et brillant qu'Idriss Aberkane se laisse aller à faire le journaliste, avec tous les défauts de cette profession dans les médias de masse : faconde, clichés, sauts du coq à l'âne, traduction des propos de l'invité comme s'il n'était pas assez clair pour être compris, ou comme si l'auditoire avait besoin de d'une paraphrase pour le comprendre. A la longue, c'est vraiment irritant.
RépondreSupprimerPassionnantes analyses de M. Lugan, dont l'impact est malheureusement amoindri par les interventions du journaliste. Au passage, rappel de la grande révolte kabyle de 1871, avec la manière arrogante, très républicaine, de traiter le cheikh Mohammed al Mokrani.
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